On est déjà le matin, et le soleil nous tapent déjà dessus. Les lions sort de leurs grotte ou tanières, et encore dans leurs sommeil, ils ne se rendent pas compte de ma fuite. Je voulais être libre pour une fois... je coure en direction de la termitière puis je m'arrête pour faire une pause. Je fixe le rocher de la fierté au loin. Je soupire. Je me laisse reprendre mon souffle, et m'accord une toute petite sieste. Bien que je vient de dormir, courir me fatigue très vite... je ne suis pas très sportif. Je m'allonge sous un petit baobab, ou les rayons de soleil réussi à traverser les quelque feuilles. Pendant ce temps, je ne prit pas le temps d'observer que je m'endort d'un coup. J'ai un sommeil de fer oui. Les yeux clos, je me plonge dans un court et profond sommeil. Soudain, un flash back se fait voir dans ma tête. Mon enfance, la mort de mes parents.. etc.. je me mit à parler dans mon sommeil, en disant "non, non ! Maman , papa !" après ce court petit cauchemar, ou rêve, je me réveille en sursaut, poils hérisser comme des aiguilles ainsi planter dans ma chair. Je suis sur le qui vive. Au moment ou je me suis réveiller, j'allais friser l’infarctus. Vraiment, j'ai eu peur. Je me calme peu à peu, même si cela prend une éternité. Je racle ma gorge, et sens l'horrible goût de mon repas que j'ai manger hier tellement j'avais faim. Quand j'ai faim moi, je mange n'importe quoi. Et maintenant... j'ai faim. Je me dirige d'un pas lourd et décidé vers la savane africaine ou des troupeaux de zèbres, gnous et antilopes broute. Juste à coté de moi, je voit de longues et haute herbe dans lesquelles je peut me cacher pour traquer une proie facile mais quand même grosse. Je me cache vite fait dans ces soit disant fameuse haute herbes, en faisant tout de même attention de ne pas me faire repérer. Un bonne nouvelle pour moi et mon estomac s'annonce, une proie que je vient de repérer a le malheur de s'éloigner de son troupeau. Et en plus, elle a l'air très faible.
Je m'approche en douce, mon ventre fait corps à corps avec le sol, puis d'un coup je bondit sur celle si, ne la lâche et ne la quitte pas des yeux. Je plante mes crocs dans son coup et mes griffes, et bien je les laisses sorties. Puis quand je voit qu'elle s'immobilise d'un coup, et qu'elle tombe par terre, je la traîne jusqu'à un baobab. Une surprise m'attend, une lionne est coucher en train de déguster son repas. Je me couche derrière l'arbre puis commence a déguster ce délicieux zèbre. Je fixe l'élégante lionne au regard charmeur et enjoliveur.
- Bonjour ma chère, dite moi, puis-je savoir votre nom ?
Je sourit, et fait un regard charmeur.